« C'est une histoire d'amours, d'amitié et d'impossible. Tout commence en plein mois de mai. Je naquis, grand bébé aux yeux bleus, déposé entre les bras de ma mère, je n'étais pas très tranquille hurlant à la mort et gesticulant des bras pour énoncer a colère. Il faisait bon là dedans je veux y retourner! Prémisse de son futur comportement, boudeur, casse-pied et surtout mal à l'aise dans un monde nouveau.
La petite enfance ne fut pas trop remuée, elle se passa tranquillement, quelques étrangetés dont Mon père était habitué étant lui même un sorcier. Ma mère avait quelque fois du mal à considérer son fils comme sorcier mais à présent, elle n'avait pas le temps de de s'occuper de ces choses-là et de s'en inquiéter vu tout le travail que je l'obligeais à fournir, je souillais ma coucher régulièrement en me trainant dans la boue du jardin, je m'échappais dès qu'elle avait le dos tourné en rampant comme un petit crabe se pressant pour éviter la marée montante.
Puis vint le jour où, dans ce minuscule quartier de campagne où chacun avait largement de quoi faire une grande maison et un grand jardin, deux autes maisons se construisirent proche de la notre. Ma grande enfance, je la passai avec les enfants des nouveaux voisins. Deux garçons que je ne quittai plus jamais et eux ne me quittèrent plus jamais. Je me souvenais parfaitement de certaines polissonneries que nous causions dans le quartier. Nous avions plié les blés d'un champs en sautant dedans comme des idiots à l'âge de sept ans, nous avions envoyé une bombe à bouse dans la chambre de la soeur d'un de mes camarades vers l'âge de neuf ans et enfin nous avions repeins la grange d'un de mes amis à coup de peinture violette, la tête que firent ses parents lorsqu'ils rentrèrent du centre commercial. Nous avions prie une belle gifle chacun aligné l'un à côté de l'autre. Nos parents en face de nous Sbam Sbam Sbam. L'affaire fut alors pliée.
Puis arriva l'adolescence, nous recevîmes la lettre de Poudlard tous trois très content de nous savoir ensemble dans la même école et le jour du partage des maisons, nous avions tous trois priés en nous tenant la main que le sort nous soit favorable. Et c'est ce qui arriva, nous nous retrouvâmes dans la même maison c'est à dire gryffondor. Nous y passâmes trois superbes années pendant lesquelles nous passons une bonne partie de nos soirées à outre passer les règles de l'école et aussi à gratter en salle de retenue. Sur nos nombreuses bêtises nous gardâmes un lien, un lien très fort entre chacun des membres.
Une quatrième personne vint s'ajouter lors de la troisième année. L'un d'entre nous trouva une petite copine, elle était appréciée de tous et surtout s'était intégré rapidement. Elle était fofolle mais de confiance. Puis vint l'été, les deux amants se retrouvaient souvent chez notre ami, nous passâmes les longues soirées d'été allongé au bord de la rivière à regarder les étoiles. Ou encore dans le champs de blé, les amants s'éclipsèrent. Nous nous retrouvâmes seuls, en tête à tête.

"Tu as déjà embrassé une fille? Moi je ne l'ai jamais fais."

"ça m'étonne pas de toi petit gay que tu es! Oui j'ai déjà embrassé des filles!"

Je sentis de l'excitation monter dans mon coeur alors que l'on pouvait entendre les gémissements de nos deux amis en pleins ébats. Nous nous regardâmes avec mon ami.

"Qu'est-ce que tu t'imagines petit cochon!"

Je lui lançai alors qu'un large sourire pas content se dessiner sur ses lèvres. Il se jeta sur moi me bloqua au sol. Le vent faisait vibrer les blés, le ciel s'étendait à perte de vue rien n'était laissé au hasard, et cette cochonne qui couinait au loin!! Tu vas te taire oui !! Nous nous regardâmes dans les yeux, il m'embrassa, je vibrai, puis il me dit:

"Si il n'y a qu'un homme avec qui je devais passer ma vie, ça serait toi."

Ce fut ma première fois et pour lui aussi d'ailleurs. Il n'avait jamais couché avec un homme auparavant et moi je n'avais jamais couché. Le lendemain, il fit comme si de rien n'était. Je l'eus pris en aparté et il me dit qu'il n'était pas prêt à se révéler et qu'il aimait les femmes plus que lui. Il n'y avais que lui comme homme qui l'intéressé. Cet été se finit ainsi. La rentrée arriva, nous reprîmes nos habitudes et partirent même cette fois-ci sur les traces des fondateurs, visiter les lieux que personnes d'autres n'avaient jamais visiter. Notre grand historien nous comptait les aventures et nous cherchâmes tous les quatre ces lieux. C'est ici que débute notre nouvelle aventure, en sixième année. »

Ce jour-là, Kenneth s'était levé du mauvais pied. Et un mauvais pied pour Kenneth n'avait rien avoir avec les petites bêtises que puissent faire les gens normaux non non! Dans son cas il créait de grosses catastrophes comme la fois où il n'avait pas dormi de la nuit et s'était retrouvé au repas punis pour avoir jeté de la nourriture sur son voisin, qui lui avait fait de même mais avec le plat en supplément. L'élève, qui était l'un de ses vieux amis s'était retrouvé affublé d'un gros coquard à l'oeil droit, pendant plusieurs jours on pouvait distinguer la trace du contour du plat sur sa joue. Une mauvaise farce que quelqu'un de censé aurait bien évidemment éviter de faire même en s'étant levé du mauvais pied.
Et encore aujourd'hui, le jeune Kenny trouva une magnifique idée, il s'infiltra avec le même ami dans la salle de défense contre les mal et libéra, sans raisons apparentes autre que de créer un peu de remue-ménage dans l'école, des lutins de cornouailles. Quelle bonne idée que cela, une très bonne farce à première vue, jusqu'à ce que ces bestioles s'amusent à détruire le mobilier et entre dans le bureau de l'enseignant, mettant à sac le peu de rangement dont disposait la pièce. Son ami eut le temps de partir en courant mais Kenny pourchassé par ces bestioles, se retrouva face au professeur dont le bureau venait d'en prendre un sacré coup et fut la victime si je puis dire de quatre bonnes heures de colle.
C'est en ce soir-là que le jeune descendit de sa tour pour effectuer ses deux premières heures. L'enseignant lui confia comme punition la restitution totale et sans bavure de tous les lutins cachés dans l'école. Une épreuve bien plus qu'une dure qu'il n'avait pu l'imaginé. Son premier chemin le mena vers la salle de bain des préfets. Ne frappant même pas à la porte, il entra comme si tout allait bien et se retrouva face à une septième année de chez poufsouffle, qui de rage lui jeta son savon à la tête en hurlant:

"Dégage pauvre idiot! furoncle puant!"

Pour une première tentative, c'était un échec, la soirée risquait d'être longue. Reprenant ses esprits dans le couloir, il vit un petit diablotin voler autour d'une statue. Il se décida à l'attraper. Courant après la bestiole, il se risqua plusieurs fois de glisser et de tomber lourdement sur ses fesses, alors que le lutin lui tirait la langue et se moquer de son aspect grotesque avec cette sueur perlant sur son front et son regard furax, injecté de sang.

"Je vais t'avoir saleté!"

Kenneth établit une stratégie. Il fit semblant de n'absolument rien voir, il passa juste à côté de la créature et d'un seul coup sortit sa baguette qui frappa le lutin d'un bon vieux stupéfix. Le sortilège n'avait au moins pas touché d'autres personnes que le lutin cible. Peut-être pas si mauvaise soirée finalement.

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